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Compte rendu de la rencontre du 18 octobre 2005




4 novembre 2005
 

1. Adoption de l’ordre du jour

L’ordre du jour est proposé par Jean-Pierre Fredette avec l’appui d’Anne Françoise Van der Maren après les ajouts suivants :
Au point 4 :
4.0 Nouvelles de la TNE
Au point 6 :
6.8 Offre de service sur le Renouvellement des pratiques pédagogiques (Frédéric Pozzoli)
6.9 Questions en rafale de la CSTL (Anne Françoise Van der Maren)
6.10 Cours IS et ISP versus Éducation populaire (Stéphane Lavoie)

2. Secrétariat

Frédéric accepte d’être secrétaire de la rencontre.

3. Approbation et suivi du compte rendu de la réunion du 13 septembre 2005

Suivi au point 6 : Le budget présenté à la Table des DEA par Claude Vaillancourt lors du dépôt de la planification 2005-2006 a été accepté. Suggestions des DEA : ventiler davantage les dépenses lors de la présentation du bilan annuel et faire un suivi plus rigoureux des dépenses dans chaque sous-comité.
Claude Vaillancourt fera parvenir aux membres du sous-comité FG la version finale de la planification 2005-2006.
L’adoption du compte rendu de la réunion du 13 septembre 2005 est proposée par Stéphane Lavoie et appuyée par Marie-Reine Rouillard.

4. Priorité du développement des TIC (Stéphane Lavoie, responsable)

4.0 Nouvelles de la Table Nationale d’Édumatique (TNE)

TIC et Réforme

Pour l’intégration des TIC dans la formation commune de base, il y aura dépôt de trois guides : un guide organisationnel, un guide pédagogique et un guide d’accompagnement.
Ateliers AQUOPS
La FGA a peu de visibilité dans les ateliers de ce colloque. Pour pallier à cette problématique, la TNE propose l’introduction d’une journée FGA dans le programme du colloque. Cette journée aurait lieu le mardi, première journée du colloque, qui se tiendra du 11 au 13 avril 2006.

Inventaire de matériel informatique

La DFGA (suite à une demande de la TREAQ-FP) prévoit faire une cueillette d’information sur l’inventaire du matériel informatique dans les centres de formation.
Une démarche similaire avait déjà été faite par le biais de l’enquête réalisée, en 2004-2005, par le comité montérégien TIC formé des représentants de chaque CS.

Carte de compétence TIC

Daniel Tousignant, responsable du SITSAT FGA à la CSDM, a créé et développé un site où on retrouve des vidéo-formations permettant de développer des compétences TIC en les intégrant dans les différentes disciplines scolaires. Il y a aussi possibilité d’avoir accès papier à ces capsules de formation (format PDF). Ce site, en développement, se trouve à www.csdm.qc.ca/cartedecompet....
Il y a aussi possibilité, par le biais d’un cours d’établissement intégrant ces capsules de formation, d’obtenir des unités de micro-informatique.

4.1 Journée pédagogique décentralisée du 28 octobre (offre de formation)

Suite au document « offre de formation » envoyé dans les centres par Stéphane Lavoie, deux CS avaient fait des demandes : Trois-Lacs et Hautes-Rivières.
La CS Trois-Lacs s’est désistée. La CS des Hautes-Rivières avait fait le choix de « Capsules Internet ». Un atelier de 2 heures est organisé au centre La Relance pour le 28 octobre en PM. Deux ressources seront présentes : une représentante de Radio-Canada pour l’exploration pédagogique des ses archives et une ressource (à déterminer) pour l’exploration d’autres sites Internet à des fins pédagogiques.
 
4.2 État de la situation du comité TIC

La réunion du 12 octobre du comité montérégien TIC a été annulée pour des raisons syndicales.
À propos des modes de financement de ce comité, une lettre avait été envoyée dans les centres annonçant que les frais des repas et de déplacement seraient dorénavant à la charge des centres. En réaction, la table des DEA modifie la décision : ces frais doivent être assumés par le budget du SITSAT. La raison invoquée est qu’on veut éviter de créer un frein à la participation des CS à ce comité. Stéphane fera parvenir une nouvelle lettre aux centres faisant état de la décision des DEA.
Lors de la dernière année, le comité avait réalisé une vaste enquête sur l’état du dossier TIC dans les centres. Les résultats « bruts » de l’enquête avaient été envoyés dans les centres à la fin de l’année scolaire 2004-2005. Le boycott syndical des rencontres du comité empêche actuellement l’analyse et la validation des résultats obtenus ainsi que la suite logique de l’enquête : la mise en place de plans locaux TIC. L’enjeu des négociations avec le gouvernement crée une situation délicate et difficile à gérer. Il est suggéré d’envoyer, au début novembre, à tous les membres du comité TIC le rapport de l’enquête en les invitant, sur une base volontaire, à faire une analyse du rapport tout en respectant toute autre décision syndicale venant des membres.

4.3 Retour sur le plan d’actions et budget SITSAT 2005-2006

Stéphane Lavoie, par le biais d’une projection à l’écran, parcourt le plan d’action en proposant quelques modifications (entérinées par la table). Une copie de ce plan d’action révisé sera acheminée à chacun des membres du sous-comité FG.
Aussi, il dépose un document où apparaissent les prévisions budgétaires du SITSAT pour l’année 2005-2006.

4.4 Formation et accompagnement pour 2005-2006

Stéphane lance la question sur les façons les plus efficaces pour rejoindre les enseignants dans leur démarche d’intégration des TIC.
Par le biais de formations montérégiennes ? Par des interventions directes dans les centres ? Moins de formations mais plus d’accompagnement ? Penser peut-être à une formule « Café Internet » ?
Trois constatations ressortent avec évidence de la discussion :
• Les enseignants ne sont pas tous au même point dans leur apprentissage des TIC et dans leur intérêt pour l’intégration des TIC.
• Les offres de formation doivent porter davantage sur des scénarios pédagogiques permettant l’intégration des TIC.
• La stratégie gagnante passe par les enseignants intéressés par les TIC et par des interventions pédagogiques dans les centres.

 
4.5 Présentation de SPIP (Système de Publication pour Internet)

En tant que responsable du SITSAT Montérégie, Stéphane vise la restructuration du site web pour le rendre plus dynamique et plus interactif.
Pour la réalisation d’un tel projet, il envisage de faire appel à SPIP (Système de Publication par Internet). Pour nous sensibiliser à sa démarche il nous propose ... un cours SPIP 101. L’utilisation de SPIP permet de dynamiser le site en le rendant non plus l’affaire d’une seule personne (l’animateur), mais davantage l’affaire d’une « communauté d’internautes ». La coquille SPIP permet une interaction immédiate et continue entre plusieurs intervenants. En plus, elle permet non seulement de créer des liens ou des passerelles vers d’autres sites Internet, mais aussi elle permet de rapatrier du matériel et du contenu des autres sites.
Pour nous permettre une meilleure compréhension et appropriation du modèle SPIP, Stéphane s’engage à nous faire parvenir des adresses de sites Internet utilisant la coquille SPIP. C’est à chaque membre de les explorer et de découvrir tout le potentiel de cette plateforme. Il rendra aussi accessible le prototype SPIP présenté pour que les membres puissent l’expérimenter.
Allons-nous dans cette direction ? Sommes-nous prêts à participer à une telle aventure ? La réponse est renvoyée à notre prochaine réunion, suite à nos explorations individuelles et à nos découvertes. Les points 4.6, 4.7 et 4.8 seront l’objet de notre discussion.
Le groupe tient à féliciter Stéphane pour son excellente présentation et pour le travail déjà entrepris dans la restructuration du SITSAT et dans l’accompagnement des enseignants par le biais d’offre de formations.

5. Nouvelles de la DRM et du MELS

5.1 Développements au MELS...

Stéphane Lavoie avait fait parvenir, par courriel, trois documents en lien avec la Réforme. Il y a encore beaucoup de questionnements à propos des structures et des contenus de la formation commune de base : jusqu’à la deuxième secondaire au lieu de la 3e, nombre de DGF, de compétences,...
Pour éviter la démotivation des comités de pilotage et du personnel enseignant, il est préférable d’investir sur des valeurs sûres comme les nouvelles approches pédagogiques. Dans cette perspective, le Centre de Sorel-Tracy offre la possibilité de visiter sa cyberclasse de français le 3 novembre prochain.

5.2 Nouveau calendrier des formations

Anne Bérat, en raison de son absence à la rencontre, avait fait parvenir, par courriel, le nouveau calendrier des formations, une lettre de M. Marcoux ainsi que les documents pour les formations du 8 novembre (Évaluation des apprentissages) et des 5 et 6 décembre (Comités de pilotage) contenant le plan des rencontres et la fiche d’inscription.
À propos de la rencontre du 8 novembre sur l’évaluation des apprentissages, on se questionne sur l’absence des conseillers pédagogiques parmi la liste des invités à cette formation. 
  L’évaluation est-ce aussi une affaire de pédagogie ou seulement de sanction ?

6. Questions diverses

6.1 État de la situation de l’appel des projets

Cinq projets ont été reçus jusqu’à présent et deux sont à venir. Quatre de ces cinq projets reçus ont été acceptés tels quels ; l’autre projet fut l’objet d’une demande de modifications. Les montants octroyés pour ces cinq projets totalisent 17 716 $ sur une possibilité de 20 000 $, en provenance de la mesure 30180 (année 2004-2005). De la mesure 30180 pour l’année 2005-2006 (20 000 $), le comité ad hoc propose qu’un montant de 10 000 $ soit affecté à « l’appel des projets », permettant ainsi d’accueillir d’autres projets. Le sous-comité entérine cette demande. Pour contrer le problème du boycott syndical, l’appel des projets est prolongé jusqu’au 21 novembre.
En lien avec cet appel de projet, le comité discute de la journée pédagogique du 17 mars 2006. En tenant compte des offres du MELS et de l’offre du SitSat, il y aurait 17 ateliers possibles lors de cette journée :
• 5 ateliers MELS
• 5 ateliers TIC
• 7 ateliers « projets »

Le sous-comité ad hoc prévoit accueillir jusqu’à la fin décembre toute nouvelle suggestion de ressources ou d’ateliers. L’offre de service pour la journée pédagogique serait acheminée dans les Centres vers la fin de janvier.
De façon générale, puisque le secteur jeune des commissions scolaires de la Montérégie n’est pas en journée pédagogique le 17 mars 2006, il est urgent de finaliser le choix de l’endroit où se tiendra cette journée. Les membres du sous-comité sont invités à vérifier la disponibilité des locaux (au moins 18 locaux) dans leur secteur et de proposer des endroits rapidement.

6.2 Suivi des dépenses et revenus par priorité

La Répondante Mme Céline Frenette confirme l’acceptation par les DEA du budget proposé pour l’année 2005-2006. Chaque priorité devrait, par ailleurs, avoir plus de rigueur dans le compte rendu de la gestion du budget alloué (garder des copies des factures encourues, par exemple).
Cependant la problématique majeure est la difficulté d’obtenir les « vrais » montants résiduels auprès des différentes fiducies surtout lorsque le même projet s’échelonne sur plus d’une année fiscale.

6.3 Perfectionnement du 8 décembre

Même si le montant du conférencier dépasse les prévisions de départ, Claude Vaillancourt confirme qu’il y aura assez d’argent pour couvrir les différentes dépenses : conférencier, repas et pauses - santé, photocopies de documents,...
Anne Françoise Van der Maren, suite à son échange téléphonique avec Anne Bérat, confirme que tout est sous contrôle en ce qui a trait au repas et les pauses - santé.
Stéphane Lavoie assure la disponibilité des appareils pour le bon déroulement de la conférence.
Les inscriptions à cette journée doivent être acheminées à Anne Bérat.

6.4 Production des évaluations formatives en mathématiques (5e sec.)

Des CS n’ont pas encore signifié leur contribution à la production de ce matériel formatif.
Elles sont invitées à le faire.
Les modules à prioriser pour de nouvelles productions sont : MAT-5103-1, MAT-5108-2 ET MAT-5111-2.
Danielle Girard profite de l’occasion pour questionner sur les corrections à faire dans les productions montérégiennes des guides d’apprentissage du programme remanié de BIO.
Réponse unanime : la CS productrice doit faire les corrections et faire parvenir aux autres CS les pages modifiées.

6.5 Accessibilité des corrigés de prétests aux institutions privées

Six membres du sous-comité refusent aux institutions privées l’accessibilité aux corrigés déposés à la CSDGS en raison d’absence d’échange de matériel formatif. Deux membres permettraient l’accessibilité en tenant compte des besoins des élèves et en invitant les institutions privées à s’investir dans du matériel formatif échangeable.
Une seule abstention dans la décision.

6.6 Séquence des cours en mathématiques

Claude Vaillancourt dépose à la table un courriel envoyé par Sylvain Dorais, conseiller en information scolaire à la CSVT
Le courriel contient l’information suivante venant de Mme Lyne Pilon responsable du dossier mathématiques à la DFGA : Un adulte ayant complété à l’éducation des adultes tous les modules de MATH 436 (programme 1992) sauf le MAT-4061 ne serait pas obligé, pour obtenir l’équivalence au MATH 436 (en vue d’une admission au CEGEP) de compléter les cinq modules prévus du nouveau programme remanié, mais seulement quatre (MAT-4104-2, MAT-4105-2, MAT-4108-1 et MAT-4109-1). Le module MAT-4111-2 ne serait pas obligatoire sauf pour l’élève qui poursuivrait en MATH 536.
Claude Vaillancourt questionne cette décision car les CEGEP ne reconnaîtraient pas cette décision.
Les membres aussi sont surpris de cette prise de décision de Mme Pilon, même si elle respecte la mesure transitoire qui avait été mise de l’avant pour déterminer l’équivalence avec le contenu du programme MATH 426 du secteur des jeunes.
Dans une démarche d’harmonisation avec le secteur des jeunes, la synthèse proposée par le module MAT-4111-2 joue un rôle primordial. Même sans la poursuite en MATH 536, il serait préférable de faire le MAT-4111-2 pour obtenir la sanction MATH 436.

 
6.7 Suivi de la conversion en mp3 des bandes sonores

Le site du matériel en ligne de la csdgs propose l’accès aux bandes sonores en mp3 accompagnant le matériel formatif en français. Cependant la conversion en mp3 des bandes sonores n’est pas complétée.
Selon l’information de Marie-Reine Rouillard, le prof de français de la CSDS, responsable du dossier, est conscient de cette problématique et il est toujours disposé à compléter la conversion des bandes sonores.

6.8 Offre de service sur la consolidation des apprentissages des nouvelles approches pédagogiques

Frédéric Pozzoli et Danièle Girard déposent un document visant un sondage dans les Centres sur la volonté des enseignant(e)s à s’engager dans une démarche de consolidation.
Les formateurs des quatre approches expérimentées (coopérative, stratégique, par projet et API) ont déjà donné leur accord à une telle démarche.
Étant donné la diversité de l’évolution des apprentissages et des expérimentations de ceux et celles qui ont participé aux formations, il est cependant essentiel de vérifier leur intérêt à participer à cette démarche.
Les membres du sous-comité doivent consulter leurs enseignants et apporter leur réponse à la prochaine rencontre du sous-comité.
Si le nombre de réponses positives était insuffisant, le comité ad hoc contactera les formateurs pour lancer la possibilité d’une troisième cohorte de formation.

6.9 Questions en rafale de la CSTL (Anne Françoise Van der Maren)

FRA-5142 : dominante informative ou narrative

Les enseignantes de français de la CSTL questionnent la nécessité de faire tout le module d’apprentissage alors qu’il est possible pour l’élève de choisir au départ une des deux dominantes proposées. Ceci leur permettrait de maîtriser seulement une partie du module.
La réponse de Jean-Pierre Fredette reflète l’opinion du groupe. L’objectif pédagogique des cours de français, comme pour tous les autres cours, est-il d’apprendre ou tout simplement la réussite de l’examen ?
L’élève doit maîtriser la compétence dans les deux dominantes. Une fois rendu à la salle d’examen, il aura alors le choix de la dominante où il se trouve plus à l’aise en fonction de ses capacités et de la problématique proposée.

Fiches de lecture en français

La CS des Trois-Lacs va déposer des fiches de lecture pour échange avec d’autres enseignants de français.

La Réforme

Anne Françoise Van der Maren doit faire un exposé sur la Réforme à la réunion des commissaires de sa CS. Elle questionne le groupe sur les éléments à aborder.
Étant donné les soubresauts que subit actuellement la structure de la réforme à l’éducation des adultes, il est conseillé de réduire le discours aux quelques fondements sûrs de la démarche comme le socioconstructivisme, la métacognition, le transfert, le concept de compétence.
Il ne faudrait pas mettre l’accent sur les « conflits organisationnels », ce qui risquerait de susciter un sentiment de démotivation.
Il est aussi suggéré de reporter la présentation à une date ultérieure aux deux journées de formation prévue les 5 et 6 décembre 2005.

Formations PER (développement personnel et social)

Des enseignants de la CS-Trois-Lacs voudraient investir dans des programmes PER pour des unités de 4e ou 5e sec. Est-ce que ça vaut la peine ? Y aura-t-il encore de la place pour de tels programmes dans la réforme ? Les contenus actuels de tels programmes commencent à avoir de l’usure. Les exigences du DES dans le nouveau régime pédagogique qui sera en vigueur avec la réforme ont été rehaussées et de nouveaux programmes obligatoires se sont ajoutés. La marge de manœuvre pour des programmes optionnels comme le PER est rétrécie.
Par ailleurs, il y aurait, dans la lignée des PER, des programmes plus enrichis comme les « Quatre univers génériques » utilisés pour la reconnaissance des acquis extrascolaires. La réussite de chaque univers déclenche 4 unités de 5e sec. Cependant ces quatre univers présupposent un bagage d’expériences de vie de la part de l’adulte. Donc ils sont peu adaptés pour une clientèle de jeunes adultes.
Par ailleurs, la CS des Patriotes expérimente actuellement, pour les 16 - 24 ans, un projet d’engagement communautaire avec possibilité de reconnaissance des acquis.

7. Cours IS et ISP versus éducation populaire (Stéphane Lavoie)

La CSDGS offre actuellement de l’accompagnement, en raison de 3 h /semaine à des personnes en situation de monoparentalité vivant des problématiques d’insertion sociale et socioprofessionnelle. Ce groupe a été inscrit dans des programmes IS et ISP.
La conseillère en orientation de cette CS se questionne sur ce type d’inscription. Ne s’agit-il davantage d’éducation populaire ? Ces types d’ateliers de courte durée sont aussi siglés IS ou ISP dans les autres CS de la Montérégie dans le cadre des compétences de base. Ce faisant les cours sont offerts gratuitement par rapport aux cours en éducation populaire qui, eux, sont autofinancés.

8. Retour sur la rencontre
 
La rencontre a été très productive.

Frédéric Pozzoli
Secrétaire

Documents joints à cet article :
 Compte-rendu 18 oct 05 175.5 ko

  

 

Journée pédagogique montérégienne (JPM 2017)
lundi 20 mars

Plus de 340 personnes ont pris part à la journée pédagogique montérégienne qui a eu lieu le 28 avril 2017, au Centre de formation du Richelieu de la CS des Patriotes.

Vous pouvez maintenant consulter la présentation de Roch Chouinard qui a prononcé la conférence d’ouverture.